Le métier de conducteur∙trice n’est, a priori, pas perçu à sa juste valeur par la collectivité : comme d’autres métiers de terrain, il est considéré – à tort – comme une de ces professions que l’on n’embrasse pas, mais que l’on finit par exercer, à défaut d’autre chose. Et pour laquelle il ne faut finalement pas grande qualification.
Etre conducteur·trice de bus c’est bien plus que seulement conduire un bus. C’est un métier qui requiert de nombreuses qualités et compétences avec de nombreux avantages.
L’idée générale de notre concept est de faire prendre conscience aux futures candidates et futurs candidats qu’ils ont toutes les qualités requises et les capacités nécessaires pour postuler aux TPG en tant que conductrices et conducteurs.
Au final, 210 conducteurs·trices ont été recrutés en 3 mois au lieu de 160 en 1 an.